Cette formation innovante, fondée sur le modèle international du master of engineering, repose sur :
la maîtrise d'un socle de compétences scientifiques et techniques en chimie de l'environnement, écologie, géologie et physique
l'acquisition des outils techniques indispensables aux métiers de l'ingénieur en environnement (mathématiques, statistiques, informatique, géomatique)
la mise en perspective de ces acquis dans les contextes sociologiques, politiques, économiques et réglementaires
l'apprentissage de la gestion de projet en équipes, de la communication, de la connaissance du monde de l'entreprise et de la recherche, et une formation en anglais renforcée
l'application de l'ensemble de ces compétences tout au long du cursus par le biais d'études de cas, d'activités de mise en situation et des stages obligatoires chaque année.
Cette formation exigeante en termes d'investissement et d'implication des étudiants – 2160 h niveau licence, contre 1800 h en licence classique ; 1440 h niveau master contre 1200 h en master classique – est sans aucun doute également très motivante par des mises en situation concrètes dès la fin de la L1 et la relation forte entre les étudiants, les chercheurs et les socioprofessionnels intervenant dans la formation.
Le Cursus master en ingénierie permet ainsi de suivre une formation renforcée à raison de 120 heures supplémentaires par année incluant :
le programme d'Ouverture sociétale économique et culturelle (OSEC)
les Activités de mise en situation (AMS), sous forme de stages et de projets
La formation propose des cours d'anglais afin de valider un niveau B2. Une mobilité internationale d'au moins trois mois durant les cinq années du cursus sera nécessaire – stage à l’étranger, échange, année de césure.
L’étudiant effectue des stages évalués chaque année soit en entreprise, soit en laboratoire de recherche.
Le cursus CMI exige un très bon niveau scientifique. Il s’adresse aux bacheliers des séries scientifiques, avec une préférence pour les spécialités mathématiques, physique-chimie, et sciences de la vie et de la Terre. Un profil polyvalent et une forte implication personnelle sont requis pour persévérer dans cette filière.
Conditions d'admission
Les candidatures se font en ligne sur le site Parcoursup. Les candidats présélectionnés sur dossier devront passer un entretien durant la première quinzaine du mois de mai.
Prérequis obligatoires
Être élève de terminale ayant choisi :
les enseignements de spécialités Sciences de la vie et de la Terre et Physique–chimie avec éventuellement les enseignements optionnels de Mathématiques complémentaires
les enseignements de spécialités Mathématiques et Physique–chimie avec éventuellement les enseignements optionnels de Mathématiques expertes
les enseignements de spécialités Sciences de la vie et de la Terre et Mathématiques avec éventuellement les enseignements optionnels de Mathématiques expertes
N.B. : aucune admission n'est possible en cours de cursus CMI. Des dérogations peuvent toutefois être accordés à de très bons étudiants en réorientation, venant notamment de CPGE ou de PACES, pour une entrée en deuxième année, après examen d'un dossier de candidature par la commission d'admission.
Prérequis recommandés
Baccalauréat avec des enseignements de spécialités scientifiques éventuellement couplés avec des enseignements optionnels scientifiques
Structure et organisation
Le CMI Ingénierie environnementale s'appuie, pour la première année de licence, sur le portail Louis Pasteur mis en place par l'université à la rentrée 2018–2019. Ce portail réunit les mentions Chimie, Sciences sanitaires et sociales, Sciences de la vie, et Sciences de la vie et de la Terre.
Pour les 2 années suivantes (L2 et L3), il s'adosse au Parcours Environnement, pollutions et milieux de la licence Sciences de la vie et de la Terre.
Le CMI Ingénierie environnementale s’appuie, au niveau master, sur les 2 finalités de la mention Gestion de l’environnement d’Aix-Marseille université, à savoir Management de l’environnement, Valorisation et analyse (MAEVA) et Sciences de l’eau (SC-Eau).
Tableau I: Filières d’adossement du CMI Ingénierie environnementale
Sites d'enseignement
SCIENCES, Marseille St-Charles
OSU, Marseille St-Charles
Formation et recherche
Pourquoi le Cursus master ingénierie ?
Face aux défis sociétaux liés au climat, à l’énergie, à la santé, aux mobilités, au développement des territoires, au numérique ;
Face aux défis des entreprises, en France et à l’international ;
Nous avons besoin d’avancées scientifiques et technologiques ;
Nous avons besoin d’ingénieurs engagés, innovants et coopératifs ;
Les CMI s’engagent à :
former des cadres scientifiques et techniques experts de leur domaine, en capacité de relever des challenges,
offrir aux étudiants un cursus en ingénierie aux standards internationaux ;
assurer une formation universitaire en cinq ans, sélective et renforcée ;
co-construire avec les étudiants leur projet personnel et professionnel.
Comprendre
Les CMI visent l’acquisition des savoirs par des approches pluri et transdisciplinaires.
Un apprentissage renforcé d’une spécialité
Les CMI consacrent la moitié de leur programme à l’acquisition progressive d’une spécialité, tout en garantissant l’apprentissage d’un socle scientifique pluridisciplinaire, grâce à un volume horaire renforcé de 20% tout au long des cinq années du cursus.
Des interventions, évènements et conférences
Les étudiants bénéficient d’un programme d’intervenants extérieurs, ingénieurs, chercheurs, chefs de projets ou entrepreneurs partageant leur expertise afin de déchiffrer les enjeux actuels et futurs ainsi que leurs réussites concrètes en ingénierie.
Une ouverture sociale, économique et culturelle
Pour affirmer l’identité de l’ingénieur CMI, le cursus consacre 20% de son temps de formation au développement des compétences transversales indispensables à l’élaboration de solutions innovantes dans un monde complexe.
Explorer
Les CMI confrontent les étudiants à des situations réelles afin de développer leur capacité d’innovation.
La recherche omniprésente
Les étudiants bénéficient de l’accès à plus de 200 laboratoires de recherche. Les chercheurs investissent la formation dès la première année et les étudiants mènent des projets scientifiques dès la deuxième. Une richesse immédiatement disponible qui leur permet d’accéder facilement aux dernières avancées.
La conduite de projet
Les projets permettent la mise en pratique des connaissances et l’apprentissage du travail en équipe. Ces mises en situation questionnent les enjeux et favorisent l’acquisition des savoirs nécessaires à la résolution de problèmes complexes.
Une expérience internationale obligatoire
Les étudiants consacrent au minimum trois mois de leur formation à l’étranger, sous forme de stage et/ou de semestre d’études, afin d’élargir leurs horizons aux cultures et enjeux internationaux.
Transformer
Les CMI préparent de futurs cadres scientifiques et techniques à être des acteurs efficients et créatifs tout au long de leur vie professionnelle.
Des stages et des projets en laboratoires et en entreprises
Les étudiants élaborent des projets, les conduisent puis les réalisent à travers diverses séquences dès la première année en entreprise ou en laboratoire. Les retours sur expérience en groupe favorisent le travail collaboratif et la capacité à s’autoévaluer.
L’acquisition d’aptitudes personnelles et professionnelles
L’innovation exige curiosité, agilité et autonomie. La formation met en avant les compétences favorisant la coopération, la capacité d’écouter et d’agir – s’exprimer, communiquer, défendre ses idées, mener des controverses…
Une formation aux standards internationaux
Les étudiants bénéficient d’une formation intégrée et complète en cinq ans, conçue selon les meilleurs standards internationaux. Elle facilite leur mobilité et leur reconnaissance partout dans le monde.
Mots du réseau Figure porteur des CMI en France
Le réseau Formation en ingénierie d’universités de recherche (Figure) – initié en 2011 et organisé depuis mars 2013 en association régie par la loi du 1er juillet 1901 – est un réseau d’universités qui proposent des nouveaux modèles de formations en ingénierie, complémentaires de ceux existants : les Cursus master en ingénierie (CMI) et pour certaines, plus récemment les Cursus bachelor en ingénierie (CBI). L’ambition est de former les étudiants aux problématiques actuelles et à venir des entreprises et de les rendre compétitifs sur le marché du travail, en analysant et en anticipant les besoins scientifiques, technologiques et sociétaux pour adapter son offre de formation à un monde en mutation.
Cette initiative novatrice et structurante, qui préfigure l’offre universitaire de demain, a été sélectionnée dans le cadre de l’appel à projet initiative d’excellence en formation innovante (IDEFI) du programme investissement d’avenir. Les établissements membres partagent et mettent en pratique, via le référentiel de formation élaboré collectivement, une pédagogie innovante et professionnalisante au profit des étudiants.
Les étudiants bénéficient de l’accès à des laboratoires de recherche. Les chercheurs investissent la formation dès la première année et les étudiants mènent des projets scientifiques dès la deuxième. Une richesse immédiatement disponible qui leur permet d’accéder facilement aux dernières avancées. Chaque CMI est porté par un laboratoire ou un consortium de laboratoires visibles internationalement et développant une recherche partenariale importante en cohérence avec les enjeux de demain.
Les équipes des laboratoires supports des CMI mènent des travaux aussi bien en lien avec le tissu économique local qu’au niveau national et international à travers des projets collaboratifs impliquant des universités et des entreprises.
Ces actions conduisent à de très nombreuses innovations ayant des retombées sociétales à court ou moyen terme.
Compétences à acquérir
Compétences spécifiques à la finalité Sciences de l’eau
L’objectif général de la finalité est de former des ingénieurs possédant une vision intégrée d’une gestion durable des ressources en eaux – aspects scientifiques, techniques, économiques, réglementaires, administratifs et sociologiques –, prenant en compte la qualité et la quantité de l’eau en fonction de ses différents usages.
Le diplômé maîtrise ainsi des compétences scientifiques et techniques en hydrobiologie, hydrologie, hydrogéologie, hydrogéomorphologie, hydrogéogéochimie, hydraulique, chimie analytique, lui permettant de :
proposer des outils de diagnostic et de surveillance de la qualité de l'eau et des milieux, par la conception et la mise en œuvre de stratégies d’échantillonnage et d’analyse, à la fois des contaminants chimiques et microbiologiques des eaux, ainsi que des indicateurs biologiques de pollution ;
de mettre en place des outils scientifiques, techniques et réglementaires de conservation et de protection d'espaces et d'espèces, pour la préservation ou la restauration de la qualité de l'eau et des milieux, et/ou à la prévention des inondations.
d’élaborer et de mettre en œuvre des stratégies d’améliorations de la qualité des eaux, des outils techniques en vue de la diminution des effets anthropiques sur les ressources en eau et des plans d’action en cas de gestion de crises naturelles (inondations, crues, sécheresse).
Compétences spécifiques à la finalité MAEVA-STE
L’objectif général de la finalité est de former des ingénieurs capables de : gérer, analyser et résoudre les problèmes liés à la protection de l'environnement et à l'amélioration du cadre de vie – Management QSE, élimination et recyclage des déchets, remédiation des sites et sols pollués, qualité de l'air et de l'eau, contrôle des nuisances, énergies renouvelables, efficacité énergétique...
Les compétences acquises durant la formation permettent de :
piloter une démarche Qualité sécurité environnement climat au sein d'une entreprise, d'une collectivité ou à l'échelle d'un territoire ;
maîtriser des techniques d’échantillonnage et d’analyses physiques, chimiques et biologiques de l’environnement pour conseiller et/ou mettre en œuvre des analyses pertinentes face à une problématique environnementale précise ;
posséder les savoirs et outils nécessaires pour expliquer et interpréter la dissémination des pollutions et risques associés dans un objectif réglementaire, sécuritaire ou de gestion des milieux ;
connaître les différentes technologies et systèmes mis en œuvre dans la production d’énergie ;
savoir effectuer une optimisation énergétique d’une installation ;
maîtriser l’ingénierie de projets : gestion technique de projets (dimensionnement, implantation), sécurité des installations.
Stages et projets encadrés
Stages
Les étudiants sont amenés à faire des stages en laboratoire et en entreprise dès la fin de la première année sous forme de :
stage ouvrier pour connaitre le monde de l’entreprise ;
stage d’observation et recherche pour s’initier à l’environnement des laboratoires ;
stage de recherche en laboratoire académique ou en entreprise.
Une expérience à l'étranger est obligatoire pour l'obtention du label CMI.
licence : semestre ou année en Europe (Erasmus, etc.), Amérique du Nord, etc.
master : stage dans une entreprise ou un laboratoire étranger
Projets : apprentissage de la vie professionnelle
L’aptitude à gérer un projet, l’esprit de synthèse, le travail en équipe sont des aspects fondamentaux du métier d’ingénieur et, à ce titre, font partie intégrante de la formation. La réalisation de projets a pour but de permettre aux futurs diplômés d’apprendre à résoudre des problèmes de complexité progressive à l’aide des connaissances scientifiques et techniques qui leur sont enseignées tout au long des cinq années d’études du cursus. C’est le terrain d’application des connaissances, des compétences, des aptitudes et des capacités acquises. C’est aussi, très tôt dès la première année du cursus, une inversion de l’apprentissage, plus conforme à la réalité de la vie professionnelle où les questions se posent parfois avant que les connaissances ne soient acquises.
L1 : projet d’initiation à l’ingénierie
Ce projet est le premier du cursus. Il a pour objectif de mettre l’étudiant en situation de réflexion et d’élaboration d’une solution d’ingénierie sur un système technologiquement simple ou sur un sous-système d’un ensemble plus complexe. Ce projet permet d’initier l’étudiant à une approche systémique et un travail collectif.
L2 : projet de recherche bibliographique en laboratoire
Le projet est centré sur l’initiation aux pratiques de recherche bibliographique et de traitement de l’information sur un sujet proposé par le laboratoire.
Ce projet est l’occasion de faire entrer les étudiants dans les laboratoires et de leur offrir l’opportunité d’interagir avec les acteurs de la recherche.
Ce projet conduit à la rédaction de rapports (stratégie de recherche et synthèse), une présentation orale et une auto-évaluation.
L3 et M2 : projet « intégrateurs »
Dès la L3, des projets “intégrateurs” de longue durée sont mis en œuvre (120 h en L3, 160 en M2). Leur objectif est double :
un projet intégrateur conduit l’étudiant à utiliser l’ensemble des connaissances qu’il a acquises dans les diverses unités d’enseignement. Ce projet montre la complémentarité des disciplines, la cohérence du cursus et contribue à développer une vision systémique de la spécialité chez l’étudiant ;
apprendre à gérer un projet, surmonter les contraintes – organisation, délais, satisfaction du « client » –, s’attaquer à du concret et travailler en équipe.
Les projets intégrateurs sont positionnés :
en L3 (semestre 6), en couronnement du socle de la Licence, comme première expérience de gestion de projet assez fortement encadrée ;
M2 (semestre 9), afin d’exercer l’étudiant à appliquer ce qu’il a acquis en termes de concepts, connaissances et compétences à un sujet très spécialisé.
Un projet intégrateur est généralement mené par équipe de trois à cinq étudiants et mobilise une cellule pédagogique rassemblant enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants et professionnels. Ce projet organise un réel contact avec les chercheurs, y compris par l’accès aux laboratoires et aux plates-formes technologiques ou autre matériel polyvalent.
Le projet intégrateur peut constituer une excellente préparation à un stage : par exemple, la préparation d’un stage de recherche entre L3 et M1, ou un projet en amont du stage de fin d’études. Le sujet doit alors avoir été co-construit avec l’entreprise (ou le laboratoire) d’accueil.
Modalités pédagogiques particulières
Modalités pédagogiques particulières
Le CMI Ingénierie environnementale fait bénéficier ses étudiants de plusieurs certifications
Les étudiants suivent et passent la certification PIX – compétences numériques et bureautiques –, ainsi que la certification TOEFL – compétences en anglais demandées par de nombreuses universités anglo-saxonnes – en L2.
Les étudiants suivent la formation et passent les certifications Sauveteur sécurité au travail et Prévention des risques liés à l’activité physique.
Les étudiants sont formés et passent la certification ENVIROPASS (certification interne de compétence en prélèvements et méthodes d’analyses chimique et biologique de terrain) en L3.
Les étudiants passent la certification TOEIC en M2 et suivent pour cela une UE spécifique de préparation. La certification est payée par la composante.
Enseignements délocalisés
Au niveau licence, les enseignements sont dispensés au site Saint-Charles. Toutefois, dans le cadre de la mutualisation de certaines UE avec le CMI Immunologie, les étudiants CMI Ingénierie environnementale peuvent être amenés à se rendre au site de Luminy
Au niveau master, les enseignements se déroulent très majoritairement au site Saint-Charles pour la finalité Sciences de l’eau, et aux sites de Saint-Jérôme et de l’Arbois (Aix-en-Provence) pour les options Analyses environnementales et diagnostics des pollutions et Gestion raisonnée du mix énergétique et transition écologique. Toutes les UE CMI du niveau master se déroulent au site de Saint-Charles.
118G : Biologie de l'eau et de l'environnement ; Biologie médicale
116G : Chimie de l'eau et de l'environnement, chimie de la santé
227P : Gestion de l'énergie
343R : Mesure de la pollution atmosphérique, contrôle de la qualité de l'eau, mesure de la radio-activité
111G : Physique-chimie de l'environnement
113G : Sciences (biologie-géologie) de l'environnement, des écosystèmes
343U : Surveillance et exploitation d installations de traitement des eaux
Débouchés professionnels
Les métiers visés pour les diplômés labélisés CMI Ingénierie environnementale du parcours-type Gestion des eaux et des milieux aquatiques de la finalité Sciences de l'eau relèvent de l’ingénierie dans les secteurs de la gestion intégrée de l'eau, de la réhabilitation des milieux aquatiques, de la surveillance de la qualité et de la quantité des ressources en eaux : fonctions de cadre, d’ingénieurs d’études et/ou de recherche, de chargé d’études et/ou de mission, recruté dans des services publics ou privés comme responsable environnement, chargé de mission et/ou d’études, ingénieur en bureau d’études, prévisionniste pour l’annonce des crues, animateur de Schéma d'Aménagement et de Gestion des eaux (SAGE), gestionnaire de milieux aquatiques, responsable GEMAPI, chef de suivi de travaux ou de fonctionnement de stations d’épuration. Les métiers visés pour les diplômés du parcours-type Analyse environnementale et diagnostic des pollutions sont ceux de cadres de l’industrie pouvant travailler dans des laboratoires privés d’analyse environnementale, ou pour des bureaux d’études chargés de la dépollution de sites. Elle prépare également aux métiers de la recherche notamment en développement de méthodes analytiques, en surveillance des milieux naturels, et en ingénierie pour la dépollution. Le parcours-type Analyse et qualité de l’air vise à former au niveau ingénieur des chimistes pour la surveillance, la gestion, l’analyse et le contrôle de la qualité de l’air dans des environnements naturels, domestiques et industriels. Les diplômés exerceront dans les organismes agréés de surveillance de la qualité de l’air (ASQUA), les laboratoires privés d’analyse, les industries de haute technologie pour le contrôle et la gestion des salles blanches, les entreprises de développement d’analyseurs ou de capteurs pour la mesure de la qualité de l’air, les collectivités territoriales pour la mise en place et la gestion des plans de protection de l’atmosphère (PPA), les organismes de recherche.
Le parcours-type Gestion raisonnée du mix énergétique et transition écologique vise à former des cadres pouvant travailler dans des grands groupes industriels, des organismes publics, des bureaux d’études ou de petites structures innovantes. Ils pourront y réaliser des études d’impact pour les parcs éoliens ou photovoltaïques, gérer des installations de production d’énergie ou des réseaux de distribution, réaliser des bilans thermiques (RT2012) pour le BTP, devenir économes de flux dans une collectivité territoriale ou gestionnaire de bilans carbone…
Poursuites d'études
À l’issu de l’obtention de leur label CMI, les étudiants promus ont la possibilité d’intégrer une formation doctorale académique – au sein d’un laboratoire universitaire – ou professionnelle – au sein d’une entreprise.
Partenariats
Partenariat avec des entreprises nationales et internationales.
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SVT3U15 - ENVIPOM Introduction au développement durable et à la responsabilité sociale des entreprises (externe)
Unité d'enseignement de 3 crédits
Volume: 30h (CM: 20h, TD: 10h)
OCMIIE7GRETE - Gest° raisonnée mix énergétique-transit° écologique (GRETE)
Liste de 30 crédits
Volume: 264h
LGEAU01 - Bases de droit de l’environnement (externe)
Unité d'enseignement de 3 crédits
Volume: 30h (CM: 30h)
[Français]
LGEAU27 - Mécanique des fluides et thermodynamiques industrielles (externe)
Unité d'enseignement de 6 crédits
Volume: 60h (CM: 30h, TD: 30h)
[Français]
LGEAU18 - Acteurs de l'énergie et du climat et contexte législatif (externe)
Unité d'enseignement de 3 crédits
Volume: 30h (CM: 10h, TD: 10h, TP: 10h)
[Français]
LGEAU19 - Expertise et audit de l'énergie et du climat (externe)
Unité d'enseignement de 3 crédits
Volume: 20h (CM: 8h, TD: 12h)
[Français]
LGEAU21 - Bases de droit et normes en sites, sols pollués et déchets (externe)
Unité d'enseignement de 3 crédits
Volume: 30h (CM: 14h, TD: 12h, TP: 4h)
[Français]
LGEAU30 - Automatismes et instrumentations (externe)
Unité d'enseignement de 6 crédits
Volume: 60h (CM: 30h, TD: 30h)
[Français]
LBEAU07 - Traitement des données (externe)
Unité d'enseignement de 6 crédits
Volume: 34h
Plusieurs enseignements et dispositifs permettent à l’élève de choisir son futur métier, son parcours et donc de trouver une motivation légitime à suivre ses enseignements. Les enseignements de parcours donnent la possibilité à l’enseignant responsable de voir régulièrement ses étudiants en petits groupes et ainsi de suivre individuellement chacun d’entre eux.
Aide à l'orientation
Les formations participe à la politique d’Aix-Marseille université pour l'orientation à travers sa participation aux salons de l'orientation, les visioconférences de l'ONISEP avec les lycées de l'académie, Les étudiants de CMI sont particulièrement actifs lors de ces événements, notamment lors des journées portes ouvertes.
Aide à la poursuite d'études et à l'insertion professionnelle
Poursuite d'études
Possibilité de poursuivre les études en école doctorale ou par l’intermédiaire des thèses CIFRE – étudiant–laboratoire–entreprise.
Débouchés professionnels
Industries, entreprises, universités, laboratoires de recherche.
Études à l'étranger
Une expérience à l'étranger est obligatoire pour l'obtention du label CMI.
licence : semestre ou année en Europe (Erasmus, etc.), Amérique du Nord, etc.
master : semestre ou année en Europe (Erasmus, etc.), Amérique du Nord, etc.
ou stage dans une entreprise ou un laboratoire étranger
Informations diverses
Les étudiants peuvent adhérer à l’Association cursus master ingénierie phocéenne (ACMIP).
Contacts
Secrétariats pédagogiques
L1 : Marion Lim (marion.lim@univ-amu.fr), tél. : +33 (0)4 13 55 04 90 – 3, place Victor Hugo – 133331 Marseille cedex 3
L2–L3 : Anne-Sophie Peyou (anne-sophie.malaise@univ-amu.fr), tél. : +33 (0)4 13 55 00 72 – 3, place Victor Hugo – 133331 Marseille cedex 3
M1–M2 :
– pour la finalité Sciences de l’eau: Aurore Ambrosino (ambrosino@univ-amu.fr), tél : +33 (0)4 13 55 07 38 – 3, place Victor Hugo – case 75 – 13331 Marseille cedex 3
– pour la finalité Management de l'environnement, valorisation et analyse – Sciences et technologies de l'environnement : Patricia Martin (martin@univ-amu.fr), tél : +33 (0)4 13 94 49 82 – 52, avenue escadrille Normandie Niémen – 13013 Marseille
Modalités d'inscription
L1 : l’inscription se déroule via Parcoursup suivie de l’inscription administrative dématérialisée. La finalisation des inscriptions s’effectuent auprès de la scolarité de l’UFR Sciences du site de Saint-Charles.
L2 et L3 : inscription administrative dématérialisée et finalisation des inscriptions s’effectuent auprès de la scolarité de l’UFR Sciences du site de Saint-Charles
M1 et M2 : inscription administrative dématérialisée et finalisation des inscriptions s’effectuent auprès de la scolarité de l’OSU Pythéas du site de Saint-Charles.