- Parcours-type 1 : Archéologie classique des mondes anciens et médiévaux

- Parcours-type 2 : Momarch – Master of Martitime Archaeology

- Parcours-type 3 : Territoires, hommes sociétés - THS

- Parcours-type 4 : Archéologie funéraire et archéothanatologie

Pour plus d'informations sur ces parcours, vous pouvez vous rendre sur le site du Master à ces liens :

https://allsh.univ-amu.fr/fr/formation/masters/master-archeologie-sciences-pour-archeologie

https://allsh.univ-amu.fr/sites/default/files/media-ressource/Master%20Arch%C3%A9ologie%20Parcours%202024-25.pdf

• Raphael ORGEOLET — — Responsable du Master Archéologie

Le Master d’Archéologie d’AMU prépare aux métiers de l’archéologie dans les domaines opérationnel (archéologie préventive), patrimonial (conservation) et scientifique (recherche). Son tronc commun vise l’acquisition rapide de compétences essentielles : collecte et analyse des données, mise en forme dans un raisonnement scientifique, et diffusion des résultats. Ce socle s’articule avec quatre parcours thématiques, organisés autour d’outils et concepts communs, couvrant les spécialités chrono-culturelles (voir « Nouveautés ») : Préhistoire, Protohistoire et Antiquité, Moyen Âge et époque moderne. Chaque parcours permet d’aborder ces périodes sous divers angles : un préhistorien peut suivre le parcours THS ou Archéothanatologie, tout comme un moderniste ou un antiquisant. De même, un médiéviste peut étudier l’architecture religieuse dans le parcours Classique ou les peuplements du Haut Moyen Âge dans THS. Ces parcours offrent des voies adaptées à toutes les spécialités.

Le Master d’Archéologie Sciences pour l’Archéologie de l’Université d’Aix-Marseille est accessible aux étudiants titulaires d’une licence d’archéologie ou d’une formation initiale équivalente. Les ouvertures et partenariats interdisciplinaires de l’archéologie permettent en effet une réorientation ou poursuite d’études dont la compatibilité est évaluée au cas par cas sur dossier de candidature.

En master

L’entrée en Master est soumise à sélection, aussi bien en 1ère année (après la licence ou BAC +3) qu’en 2ème année (après bac + 4).

Dépôt des candidatures par internet obligatoirement https://www.monmaster.gouv.fr

Un diplôme de Licence.

Licence d’archéologie ou d’histoire de l’art et d’archéologie. Expérience du terrain archéologique.

Un socle commun regroupe des unités d’enseignement (UE) disciplinaires ou transversales qui s’imposent à l’ensemble des étudiants de la mention.

Les modalités d’enseignement répondent aux objectifs pédagogiques et à l’acquisition de savoirs et de compétences, validée par la rédaction et la soutenance d’un mémoire en fin de première et de deuxième année. La formation des parcours 1-4 est dispensée :

- au sein de l’Université sous forme de cours (CM, TD, TP), et adossée aux laboratoires de rattachement de l'équipe pédagogique ;

- dans les laboratoires d’accueil et à l’extérieur de l’Université sous forme de stages, et écoles d’été, effectués auprès d’organismes homologués de l’archéologie opérationnelle, préventive et programmée, dans le cadre de conventions de stage individuelles ;

La Préhistoire au LaMPEA

Le Laboratoire Méditerranéen de Préhistoire Europe-Afrique (LAMPEA - UMR 7269) est une unité de recherche placée sous la triple tutelle d’Aix-Marseille Université, du CNRS, du Ministère de la Culture et lié avec l’INRAP par une convention de partenariat scientifique. Son projet scientifique repose sur l’analyse des organisations, transformations et évolutions des sociétés préhistoriques dans leur cadre biologique et environnemental. Il s’organise autour de 4 spécialités qui fonctionnent en interdisciplinarité : préhistoire, archéozoologie et paléontologie, géoarchéologie, anthropologiebiologique et culturelle.

L’unité est structurée en 3 programmes : 

CEP – Comportements & Environnements Préhistoriques

PAST – Préhistoire et Anthropologie des Signes et des Techniques

BIOGRAPHIES – Biographies humaines passées : environnement, biologie, expressions techniques, sociales et abstraites

Le LAMPEA comprend plus de 50 membres statutaires, chercheurs et chercheuses et personnels d’accompagnement de la recherche, une dizaine de doctorants et des post-doctorants. Le laboratoire a une forte activité de terrain sur l’ensemble du pourtour méditerranéen, dans le Caucase et en Afrique australe. Il offre également des plateaux techniques performants et très bien équipés : biochimie isotopique, microscopie et géoarchéologie réunis en une plateforme BOOST, labellisée par l’université d’Aix Marseille. L’unité dispose d’une lithothèque et d’une ostéothèque, fondamentales pour la recherche comme pour la formation.

Fortement investi dans la formation à la recherche, le LAMPEA est laboratoire d’accueil pour la Préhistoire du Master Archéologie, Sciences pour l’Archéologie parcours Territoires, Homme, Sociétés & parcours Archéologie funéraire et archéothanatologie. L’ensemble de ses membres participent à l’encadrement et l’accompagnement des étudiants qui sont ainsi tutorés par des collectifs. Les sujets proposés en Master s’inscrivent dans les recherches de l’unité et comprennent des analyses de la culture matérielle : analyses techno-économiques et morpho-fonctionnelles des équipement préhistoriques (lithique, céramique…), des analyses paléontologiques et archéozoologiques des assemblages osseux, des approches anthropologiques et biochimiques des vestiges anthropiques (démographie, funéraire, état sanitaire, alimentation…) et des travaux en géoarchéologie et géomorphologie. Sous la supervision de leurs encadrants, les étudiantes et étudiants de master ont accès à l’ensemble des plateaux techniques du laboratoire. 

La Protohistoire et l’Antiquité au CCJ

Le Centre Camille Jullian (CCJ) est un laboratoire d’histoire et d’archéologie qui conduit des recherches archéologiques et d’histoire ancienne sur le pourtour de la Méditerranée et en Afrique du Nord, pour des périodes allant de la Protohistoire jusqu’à la fin de l’Antiquité.

Cette Unité mixte de recherche (UMR7299) compte deux tutelles principales, l’Université d’Aix-Marseille et le CNRS, et deux tutelles secondaires, le Ministère de la Culture et l'Inrap.

Les programmes visent à une meilleure connaissance des sociétés du bassin méditerranéen, de la Protohistoire à la fin de l’Antiquité. Ils en font un laboratoire d’archéologie majeur, reconnu par l’ensemble de la communauté scientifique tant en France qu’à l’étranger. Ils concernent plus particulièrement :

• La recherche fondamentale et appliquée, programmes interdisciplinaires,

• La formation doctorale,

• Le développement d’instruments de travail riches et variés (publications, bases de données, corpus…),

• La gestion de fonds documentaires exceptionnels (bibliothèque, photothèque, aérophotothèque…),

• Des savoir-faire techniques (photographie, architecture navale, topographie, édition, humanités numériques…)

Si CCJ offre une très large plateforme scientifique, tant sur le point des espaces que des domaines d’étude, il est particulièrement en pointe dans les domaines suivants : 

- Archéologie maritime de la Protohistoire à l’Antiquité tardive.

- Archéologie des mondes grec et romain, de la Protohistoire à l’Antiquité tardive en Méditerranée

- Protohistoire et Antiquité en Gaule méridionale

- Archéologie de l’Afrique du Nord de la Protohistoire à l’Antiquité tardive.

- Archéologie des milieux montagnards de la Protohistoire à l’Antiquité tardive.

- Céramologie.

- Archéologie de l’artisanat.

L’Antiquité à l’IRAA

L’institut de Recherche sur l’Architecture Antique (IRAA) a pour spécificité de réunir des architectes diplômés, des archéologues et des historien.nes autour d’un objet commun : documenter et interpréter l’architecture des mondes grec et romain. Il concerne ainsi essentiellement le parcours 1. Archéologie classique du Master.Les terrains d’études se situent en France métropolitaine (en lien avec les Services régionaux d’archéologie), particulièrement dans l'ancienne Gaule Narbonnaise, aussi bien que dans les grands espaces de la Méditerranée, en Italie et en Grèce principalement. Tous les types d’édifices sont étudiés : publics, religieux et funéraires, mais aussi domestiques. Ils sont envisagés sous tous leurs aspects : techniques de construction, formes et usages, ornements et décor. Mais l’analyse architecturale et archéologique est le socle d’une interprétation historique qui touche, bien au-delà de la seule construction, tous les aspects de la vie antique : la ville et son dynamisme ; les enjeux politiques, religieux, sociaux, économiques etc. derrière tout édifice ; le décor architectural et figuré, ses messages et ses significations. Pour cette raison, les recherches conduites à l’IRAA peuvent utiliser, en les combinant, tous types de sources : vestiges archéologiques, statuaire, monnaies, céramique, inscriptions, littérature etc., mais aussi exploiter les archives de l’archéologie, en s'appuyant sur le riche fonds de l’unité.

Le Moyen Âge et l’époque moderne au LA3M

Le Laboratoire d’Archéologie Médiévale en Méditerranée (LAMM), fondé par G. Démians d’Archimbaud dans les années 1960,  a été rebaptisé en 2012 Laboratoire d’Archéologie Médiévale en Laboratoire d’Archéologie Médiévale et Moderne en Méditerranée (LA3M), compte-tenu de l’intérêt croissant porté aujourd'hui par la recherche sur les époques moderne et contemporaine. Les travaux y sont menés par une communauté scientifique diverse regroupant des enseignants-chercheurs d’Aix-Marseille Université, des chercheurs CNRS, ingénieurs de recherche ou d’étude, mais aussi des archéologues de l'Inrap, des collectivités territoriales ou bien salariés d'entreprises privées.  Les domaines de recherche étudiés concernent l’ensemble de l’espace méditerranéen entre le Ve siècle et le XXe siècle (Europe méditerranéenne, mondes byzantin et arabo-musulman). Pluridisciplinaire, l'équipe regroupe une grande variété de champs de comptétences et œuvre dans des domaines d'étude très divers en archéologie et en architecture (terrains de fouille et d'étude du bâti ecclésial, castral, urbain ou bien rural), dans les systèmes techniques et en histoire économique (céramologie, archéométallurgie, archéozoologie), en archéologie funéraire, en histoire et en histoire de l'art. L’encadrement des travaux de recherche des étudiant/e/s inscrits en Master d’archéologie est assuré par les enseignants-chercheurs avec le soutien de l’ensemble des chercheurs et des ingénieurs rattachés au laboratoire.

• ALLSH, Aix-en-Provence (Schuman)
• ALLSH, Aix-en-Provence (MMSH)

Voici quelques exemples de sujets de mémoire de Master susceptibles d’être effectués en archéologie au sein des laboratoires de la MMSH ainsi qu’à La Timone :

Préhistoire

- « Les productions lithiques en quartz en Préhistoire. Étude de cas : Torre d’Aquila, Pietracorbara, Haute-Corse ».

- « Chronotypologie des palettes à fard du Prédynastique égyptien : révision de la chronotypologie des palettes à fard par l’étude des cooccurrences de cet artefact en contexte funéraire et observation de l’évolution des formes ».

- « Apport des référentiels modernes dans l’étude des ensembles fauniques du Pléistocène : l’exemple de la collection de Cerf (Cervus elaphus) de Pologne. Études quantitatives et ostéométriques ».

- « Les retouchoirs en os de cervidés et équidés de la Caune de l’Arago (Tautavel, Pyrénées-Orientales) : comparaisons avec un référentiel expérimental de type Quina ».

- « Étude de la fracturation osseuse d’os longs : du moderne (expérimental) au fossile (site des Auzières II, 84). Nouvelles approches interdisciplinaires (micro-tomographie RX, ultrasons) ».

- « Étude anthropologique et analyse taphonomique d’une phase structurelle de la sépulture collective néolithique final de Mas Rouge (Hérault, 34) ».

- « Unité et diversité des populations de lamelles à retouche Ouchtata de l’Ibéromaurusiende Courbet Marine (Algérie) ».

- « Première caractérisation de la couche E de la Combette (Vaucluse, France) : une introduction à la variabilité des systèmes techniques lithiques au Paléolithique moyen ».

- « Caractérisation des fractures sur des pointes à dos paléolithiques et application à la série épigravettienne de Saint-Antoine – Vitrolles, Locus 2 (Hautes-Alpes) ».

- « Étude paléontologique, taphonomique et archéozoologique des cervidés de l’UA Q de la Caune de l’Arago ».

- « Première approche pétroarchéologique de la collection lithique des sites préhistoriques du Plan du Layon et du Massif du Petit Cordeil (Thorame-Basse, Alpes-de-Haute-Provence) ».

- « Comportements alimentaires au Néolithique moyen I. Analyses isotopiques des restes osseux de la zone funéraire Cerny de Porte-Joie (Eure, Normandie) ».

- « L’environnement au Gravettien en Europe méridionale : l’étude du palynofaciès de SMA-Esterno de la grotte de Santa Maria di Agnano (Ostuni, Italie) ».

- « Les pratiques alimentaires à l’âge du Bronze en Auvergne : étude multi-isotopique d’Aulnat Zalo et ses environs ».

- « Étude néotaphonomique : collection ostéologique moderne de surface en grotte. L’exemple de la grotte du Mas des Caves, Lunel-Viel (Hérault) ».

Protohistoire

- « Les bols à oiseaux découverts sur les sites gaulois du territoire de Martigues (Bouches-du-Rhône). Contribution à l'étude des premières interactions méditerranéennes en territoire ségobrige ».

- « Les exotica en Crète au Bronze-Ancien ».

- « Les interactions Crète-Cyclades au Bronze Ancien : comment dépasser l’ethnicité ? ».

- « Usages et fonctions des sceaux en Grèce continentale à l’Helladique Récent ».

- « Représentations féminines et archéologie du genre en Crète minoenne ».

- « L’habitat proto-mycénien dans le Péloponnèse ».

Antiquité

- « Un ensemble céramique du site des Mayans à Marseille (VIe-Ve s. av. J.-C.) ».

- « Les dépôts votifs de l’époque archaïque (VIIIe-VIe siècle avant J.-C) de MégaraHyblaea. Les offrandes métalliques gauloises de la bordure Sud du plateau Nord ».

- « Les meules archaïques, hellénistiques et romaines de Megara Hyblaea (Sicile) ».

- « I Palazzi (Haute Corse) : étude des céramiques d'importation durant la période républicaine ».

- « La Bastide Mège (Fréjus, Var) : étude céramique des contextes antiques et modernes ».

- « La diffusion des objets orientaux dans les nécropoles de Campanie entre le VIIIe et le VIe s. av. J.-C. L'exemple de Capoue ».

- « Les amphores du site archéologique de l'oppidum des Caisses de Jean-Jean à Mouriès (Bouches-du-Rhône) ».

- « Mégara Hyblaea : Etude d’un secteur de la nécropole ouest à partir des fouilles de 1984 : mobilier et pratiques funéraires ».

- « Étude des inhumations en pithos dans les nécropoles de Mégara : nécropole sud et nécropole ouest à partir des fouilles de 1984 ».

- « L’architecture religieuse à Corfou à l’époque archaïque : bilan critique ».

- « Les sanctuaires rupestres des Cyclades, de l’époque archaïque à la fin de l’époque hellénistique ».

- « Athlètes en marbre de la première moitié du ve s. av. J.C. : ateliers, formes, fonctions ».

- « L’ostentation funéraire à Athènes au IVe s. av. J.C. : l’exemple des vases monumentaux en marbre ».

- « Les portraits sculptés en Égypte lagide ».

- « Le culte impérial dans la province de Macédoine, d’Auguste aux Sévères ».

- « Les ateliers de sculpteurs à Aphrodisias : organisation, production, diffusion ».

- « L'urbanisme et la topographie antique de Vaison-la-Romaine. Prospections archéologiques dans le bâti ancien ».

- « Les pavements mixtes de Gaule Narbonnaise ».

- « Etude architecturale des édifices du secteur C de la villa de Santa Marina en Croatie ».

- « Etude archéométrique des bétons hydrauliques de la villa de Santa Marina (Tar Vabriga, Croatie) ».

- « Le mobilier céramique des fouilles (1960) de la domus de la Plateforme à Fréjus ».

- « Le mobilier céramique du fossé de Tholon, antique Maritima Aviaticorum ».

- « Les amphores Dressel 1A/B en phase transitoire de l’épave Pointe de Pomègues 1 ».

- « Épaves lapidaires et commerce de la pierre pendant l’Antiquité romaine. L’exemple des Saintes-Maries-de-la-Mer ».

- « Les villas littorales romaines d'Arles à Marseille ».

- « Etude de photo-interprétation autour du golfe de Fos ».

- « Les villae maritimes du littoral de Lepcis Magna en Tripolitaine à l’époque impériale (Ier s. av. J.-C. – IVe s. ap. J.-C.) ».

- « Recherches préliminaires sur la gestion de l’eau à Tiddis, antique CastellumTidditanorum (Numidie) ».

- « Les habitats ruraux entre la fin de l’âge du Fer et l’époque romaine (IIIe siècle av. J.-C. – IIIe siècle après J.-C.) dans le secteur de Cuneo (Piémont, Italie) et la Vallée du Verdon (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France) : une approche comparative ».

Moyen Âge et époque moderne

- « L’occupation du sol en basse Provence rhodanienne/ou durancienne au Moyen Âge ».

- « Entre Arles et Avignon : les Alpilles, défense et appropriation d’un espace de confins aux IXe-XIIe s. ».

- « Les paluds (marais et étangs intérieurs) dans la Provence médiévale : étude spatiale et rythmes d’occupation ».

- « Cartographie dynamique du peuplement à Laroque-des-Albères ».

- « L’occupation du littoral provençal ou catalan aux VIIIe-XIIe s. ».

- « L’habitat semi-rupestre en Provence : bilan historiographique, potentialités ».

- « Le site perché de Sainte-Propice à Velaux (A-Tardive /Haut Moyen Âge) ».

- « Le castrum de Belvezert/Beauvezet XIIIe-XIVe siècles (Lamanon, Bouches du Rhône) ».

- « Les castra de Durance / Luberon (A. Tardive /haut Moyen Âge) ».

- « Authentifier, représenter et concevoir le réel en archéologie. Le relevé face aux nouveaux médias. Approches techniques multidisciplinaires. L’exemple de l’abbaye de Montmajour et d’un corpus de chantiers comparatifs ».

- « Le prieuré d’Estagel et son portail (XIIe siècle ). Étude archéologique et restitution »

- « Les fortifications de la ville de Trets ».

-  « L’artisanat et le commerce du froid en Méditerranée occidentale entre Moyen Age et époque contemporaine : historiographie et recherches en Corse ».

-  « Ut nullus homo vel femina sepultura careat – Topographie et développement du cimetière rupestre médiéval (XIe-XIIIe ?) de Saint-Roman de l’Aiguille ».

-   « Les peintures murales du XVe siècle de Notre-Dame-du-Bourg à Digne-les-Bains, le Jugement dernier, l’Annonciation et le Martyre de saint André : synthèse et introduction archéologique à la stratigraphie des couches picturales ».

-  « Les pavements de mosaïque médiévale dans le Sud-Est de la France ».

- « La ferme des Guérins à Montlaux (04). Etude historique, archéologique et patrimoniale d’un ensemble rural d'époque contemporaine en Haute-Provence (XIXe-XXe s.) ».

- « Le site du Minier en Aveyron (XIIIe s.). Étude géochimique et géoarchéologique sérielle des sondages effectués dans la vallée ».

Enfin et surtout, l’apprentissage de la recherche en archéologie se fait à Aix-Marseille Université en étroite collaboration entre les équipes d’enseignants-chercheurs et les laboratoires, dont une grande partie des personnels scientifiques et techniques interviennent dans la formation (chercheurs, ingénieurs, personnels d’appui à la recherche). Les laboratoires d’archéologie de la MMSH sont au nombre de quatre : LaMPEA pour la Préhistoire, CCJ pour la Protohistoire et l’Antiquité, IRAA pour l’Antiquité, et enfin le LA3M pour le Moyen Âge et l’époque moderne. S’y ajoute le laboratoire ADES, installé à Marseille auprès de la faculté de médecine (SMPM).